La CGT Éduc’action Versailles vous accompagne, vous défend et vous syndique !
Comme depuis plusieurs années, le rectorat de Versailles va faire appel à plusieurs milliers de contractuel⋅le⋅s pour venir compenser les postes non pourvus aux concours notamment. Tout comme Créteil, notre académie forme de nouveaux⋅elles collègues à l’enseignement mais également aux métiers de la vie scolaire, de la santé, du social, administratifs. Cela pose de nombreuses questions en termes d’accueil, de formations, de place dans les équipes pédagogiques.
Être contractuel⋅le, c’est souvent effectuer son métier dans un établissement puis dans un autre sans réussir véritablement à nouer des liens avec le reste des personnels en raison de l’augmentation des tâches. Cela veut donc dire dans de trop nombreux cas un isolement qui est à l’inverse des enjeux de nos métiers.
La CGT Éduc’action Versailles ne se satisfait pas de cette situation. Afin de mieux connaître les conditions de travail des personnels contractuel⋅le⋅s, nous t’encourageons à remplir l’enquête suivante. Cela ne te prendra que quelques minutes et nous permettra de construire nos revendications aux plus proches des personnels.
Notre enquête auprès des contractuel⋅les
Nos revendications pour les non-titulaires
La CGT Éduc’action continue de revendiquer :
- La titularisation sans conditions de concours ni de nationalité
- la titularisation des précaires.
- une période de formation dès le recrutement,
- une possibilité d’avancement liée à l’ancienneté et donc du classement sur une grille salariale nationale identique à celle des fonctionnaires
- une prime de précarité,
- l’accès à un meilleur reclassement au moment de leur recrutement,
- un droit réel de défense en CCP en cas de procédure de licenciement ou de non renouvellement de contrat,
- la garantie d’emploi,
- un véritable statut pour les AEd et pour les AESH.
- pas de fusion AEd/AESH
Nous appelons également l’ensemble des contractuel⋅le⋅s à se syndiquer pour s’inscrire dans un collectif durable, le syndicat, qui permet de se défendre et de s’organiser pour exiger de nouveaux droits ! Le syndicat, c’est l’affaire de tout⋅e⋅s les travailleurs⋅euses.
